Je dirai que les pièce techniquement (mais pas tjours musicalement) les plus abordables se trouvent parmi les préludes et les mazurkas ... Mais pour aborder Chopin il faut avoir (outre bonne technique digitale force souplesse légèreté...) une... plus »Je dirai que les pièce techniquement (mais pas tjours musicalement) les plus abordables se trouvent parmi les préludes et les mazurkas ... Mais pour aborder Chopin il faut avoir (outre bonne technique digitale force souplesse légèreté...) une maîtrise du jeu de pédale non pas parce qu'il y en a beaucoup mais au contraire parce qu'il ne faut pas en abuser. Pour moi Chopin plus que tout autre reste la référence absolue pianistique. Il ne se passe pas un jour sans que je ne joue l'étude n1 op10 ou 12 op10 ou 12 op25. Outre qu'elles sont merveilleusement belles elles restent redoutables... Et pourtant ça ne m'empêche pas même à mon âge d'utiliser mon Hanon régulièrement car n'en déplaise à ses détracteurs, c'est lui plus que les horribles études de Czerny (à dégoûter du piano) qui en grande partie fait que j'ai atteint mon niveau (virtuose amateur). Hanon est un outil comme un sportif fait son échauffement ses étirements travaille ses pointes de vitese ou ses gestes techniques. moins
A mon sens, se lancer dans une ballade Chopin après ce que vous avez travaillé est un peu dangereux car sur le plan purement technique il faut une maîtrise qu'on acquiert en travaillant par exemple ... les études (quelques... plus »A mon sens, se lancer dans une ballade Chopin après ce que vous avez travaillé est un peu dangereux car sur le plan purement technique il faut une maîtrise qu'on acquiert en travaillant par exemple ... les études (quelques unes) ... Eh oui. Bon courage.
J'avais un ami devenu depuis lomgtemps accompagnateur professionnel. Il me disait juste que c'était la curiosité (il regardait tout ce qui lui tombait "sous les yeux" et tâchait de déchiffrer). Au fil des années il a... plus »J'avais un ami devenu depuis lomgtemps accompagnateur professionnel. Il me disait juste que c'était la curiosité (il regardait tout ce qui lui tombait "sous les yeux" et tâchait de déchiffrer). Au fil des années il a "appris" maîtriser la lecture à vue en faisant d'instinct l'impasse sur quelques notes (lorsque c'est difficile ou trop chargé) afin de privilégier le tempo. et l'écoute de l'autre.
Moi, technicien correct mais très moyen déchiffreur, j'ai constaté que les progrès techniques améliorent néanmoins le déchiffrage (par ex moins de temps pour mettre en place un passage difficile d'une étude de Chopin quand la technique est au RDV). Mais là c'est plutôt la vitesse d'apprentissage.
Je conseille aussi le "déchiffrage-plaisir" systématique de courtes pièces (connue d'oreille uo pas) telles Petits préludes et fugues de... moins